LA BRANCHE VERTE : SCOUTS / GUIDES

Aux jeunes de 12 à 18 ans la branche verte du scoutisme propose un idéal de vie fondé sur les valeurs chrétiennes. La troupe est donc pour les scouts une école de formation destinée à faire d’eux des adultes accomplis que ce soit sur le plan spirituel, moral ou physique.

Un idéal de vie chrétienne

Le but du scoutisme est avant tout de donner un idéal chrétien aux jeunes. A l’image du chevalier, le scout promet sur son honneur de servir Dieu, l’Eglise, sa patrie et son prochain par l’observation de la loi et des principes scoutes. Il s’y engage solennellement lors de la promesse qu’il prononce devant la troupe, après une veillée de prière. Un aumônier est attaché à la troupe pour lui assurer un suivi spirituel et les sacrements.

Inculquer le sens du bien commun et des responsabilités par la vie en patrouille

Le but du scoutisme est avant tout de donner un idéal chrétien aux jeunes. A l’image du chevalier, le scout promet sur son honneur de servir Dieu, l’Eglise, sa patrie et son prochain par l’observation de la loi et des principes scoutes. Il s’y engage solennellement lors de la promesse qu’il prononce devant la troupe, après une veillée de prière. Un aumônier est attaché à la troupe pour lui assurer un suivi spirituel et les sacrements.La troupe est divisée en petites équipes d’environ huit scouts, appelées patrouilles. Elle est dirigée par un scout souvent le plus âgé mais surtout le plus expérimenté, appelé chef de de patrouille (CP) et assisté par un second.

Le chef de patrouille et son second sont responsables des scouts de leur patrouille, en les nommant à cette place, le chef de troupe leur délègue son autorité et son rôle d’éducation.

A une autre échelle, chaque scout de la patrouille est responsable de celui ou ceux qui le suivent dans la hiérarchie. Chacun est donc très vite amené à exercer des responsabilités.

Le scout apprend ainsi à devenir un adulte responsable et un chef, qualités qui lui serviront toute sa vie.

Une école du détachement et de la débrouillardise

Le but du scoutisme est avant tout de donner un idéal chrétien aux jeunes. A l’image du chevalier, le scout promet sur son honneur de servir Dieu, l’Eglise, sa patrie et son prochain par l’observation de la loi et des principes scoutes. Il s’y engage solennellement lors de la promesse qu’il prononce devant la troupe, après une veillée de prière. Un aumônier est attaché à la troupe pour lui assurer un suivi spirituel et les sacrements.

Les activités scoutes : apprendre par le jeu

Toutes les activités ont donc pour but de faire grandir l’adolescent à un moment décisif de sa vie. Les sorties, les week-ends ou les camps sont l’occasion de grands jeux, d’olympiades, de concours cuisine, de veillées, ou de marches, lors des explorations, des raids et des pèlerinages.

Loin d’une méthode austère et moralisatrice, la pédagogie scoute s’appuie le plus souvent sur le jeu pour donner un apprentissage que l’école ne dispense pas. Un grand jeu saura ainsi apprendre à des jeunes portées par un imaginaire l’esprit d’équipe, l’endurance et de diverses techniques comme l’art de communiquer par signal codé ou de construire un fortin avec les moyens du bord.

Les Guides

Les guides sont la version féminine des scouts. Une compagnie de guide rassemble ainsi les filles de 12 à 18 ans et fonctionne sur le même principe que la troupe, en adaptant la formation et les activités à la psychologie féminine. On parle aussi de guidisme pour désigner la version féminine de la pédagogie scoute. Même si scouts et guides doivent acquérir par le scoutisme, sainteté, débrouillardise et sens des responsabilités, le guidisme mettra l’accent davantage sur la générosité, le sens du beau et la créativité en accordant une attention toute particulière sur le chant et la veillée.

Dans un grand jeu par exemple, alors qu’on recherchera chez les scouts l’endurance, le courage et le défi physique, chez les guides, ce sont plutôt la générosité et la créativité qui seront valorisées.